L’effet Miroir : un outil fabuleux au service de la Connaissance de Soi

Retranscription complète de mon Podcast La Buvette – Episode n°21

Cette année, je vous l’ai annoncé, je vous accompagne dans la connaissance de vous-même, vous dans votre être profond, vous dans votre entièreté, mais surtout, je vous accompagne et je vous invite à vous accepter ; à accepter absolument tout ce qui est à l’intérieur de vous. A accepter vos parts de lumière, mais également vos parts d’ombre.

Pour ça, aujourd’hui j’ai eu envie de vous parler d’un outil fabuleux, gratuit et à la portée de tous au quotidien ; cet outil c’est l’effet miroir.

L’effet miroir on en entend souvent parler, mais j’ai constaté qu’on a du mal à comprendre exactement ce que c’est et que toutes les définitions ne sont pas les mêmes. Alors aujourd’hui je vais vous aider à y voir plus clair, à mieux comprendre de quoi il s’agit exactement, et surtout comment s’en servir en conscience.

On se trompe souvent sur ce qu’est l’effet miroir ; ce que je peux vous dire dans un premier temps, c’est que c’est un outil formidable qui nous permet nous-même de nous servir d’une situation qui nous dérange, qui nous déplait, pour voir où est-ce que ça raisonne en nous et pour voir où est-ce que l’on peut aller travailler, à l’intérieur de nous.  

L’effet miroir c’est quand les choses viennent nous piquer exactement où l’on va réagir : exactement où il y a une réaction de notre part ! Donc une réaction émotionnelle (colère, dégout, énervement). L’effet miroir c’est à la fois un enseignement et c’est un véritable outil qui est au service de notre introspection.

Lorsque l’on parle de l’effet miroir ; il ne faut pas confondre « l’être » et le « faire » : c’est à dire que ce n’est pas l’action de la personne qui va venir faire miroir en nous, mais l’état de la personne, ce que la personne « est » dans une action donnée.  

Je vais commencer en vous donnant un exemple concret :

J’étais à la boulangerie je faisais la queue, et une dame (plutôt âgée) passe devant moi, sans aucun scrupule. Evidemment, ça m’a énervée, même si en moi j’essaye de lâcher priseparce qu’en soi ce n’est pas grave que j’attende un peu plus malgré le fait que j’étais légèrement pressée – mais même si j’ai essayé de lâcher prise, en moi il y a eu un sentiment de colère qui a émergé,  à l’intérieur. En fait, c’est le manque de respect de la personne qui se permet de couper la file alors que nous sommes déjà nombreux à attendre, dehors – dans le froid qui plus est – qui a fait émerger ce sentiment de colère en moi.

Alors, tout au long de l’attente, je regardais cette dame et je me demandais au fond pourquoi est-ce que cela me mettait en colère (malgré le stress de l’horloge qui tournait) ; puis j’ai repensé à mes études, à mes coachings, à ce que j’apprends au quotidien et ce que je transmets autour de moi, et j’ai réalisé que ce qui m’a mise en colère à cet instant c’est en réalité ce que cela me renvoie à moi, ce que cela touche en moi ; et c’est ça l’effet miroir ! Nous réagissons toujours à un comportement extérieur à nous pour une raison très précise, qui prend racine à l’intérieur de nous.

Ma première pensée a été « mais quel culot, je n’oserai jamais faire ça ! » et c’est quelque chose que je disais souvent avant de me rendre compte que c’était l’effet miroir. C’est le fameux ; « moi, je n’agirai jamais comme ça. » Alors, oui, c’est très bien, tant mieux, bravo à moi-même ! Mais au final, la colère est toujours présente en moi, donc à quoi ça sert de dire ça ? En fait ce qui est intéressant dans cet exemple c’est ce que moi je voyais de cette situation, de ce comportement, à travers mon prisme à moi, mon jugement ; et c’est uniquement ça qui m’a fait réagir ainsi. C’est ça qui a généré de la colère, en réalité.

Alors se dire :  « Moi je n’oserai jamais faire un truc comme ça, me faire passer avant l’autre… » c’est super, mais ça avance quoi ? Parce que du coup, là, je me positionne comme une « meilleure personne », je me juge « mieux » que cette dame qui a coupé la file, et ça c’est exactement le moment où mon égo me fait croire que je suis une meilleure personne que cette dame-là, que je suis d’ailleurs en train de juger allégrement à l’intérieur de moi. Extérieurement, rien ne transparait, pas un soupir, pas un haussement de sourcille, pas un mot de travers. C’est le coté bien élevée extérieur, mais à l’intérieur quelque chose est bien présent ; quelque chose bouge et provoque une réaction émotionnelle.

Alors, je me suis dit « ok, qu’est-ce que cette personne est en faisant cette action ? ». Je sais ce qu’elle fait, mais je ne sais pas ce qu’elle est. Je vais essayer de la comprendre dans son être et non pas à travers son action que je juge comme-ci ou comme ça. Pour moi à cette instant-là, cette personne elle est « égoïste, irrespectueuse ». Ok, et ça alors, qu’est-ce que ça vient toucher chez moi ? Et j’ai bien précisé que je ne « ferais jamais ça », oui justement parce que dans mon comportement je ne souhaite pas avoir des actions égoïstes ou irrespectueuses, donc je fais attention à comment je me comporte vis-à-vis des autres personnes. Cependant, il y a peut-être une part de moi qui l’est, égoïste, et c’est pour ça que cela vient faire écho en moi. Dans mon être, dans mon intériorité à un moment donné, dans une situation donnée, il y a peut-être une part de moi qui peut être égoïste, qui peut être irrespectueuse. Et peut-être que j’ai peur moi-même d’être égoïste, de me reconnaitre égoïste dans mon être, de me reconnaitre irrespectueuse. Et là encore, je précise qu’être égoïste ne veut pas dire que je suis quelqu’un d’égoïste ; cela n’a rien à voir et il faut vraiment faire la différence entre ces deux notions.

Dans l’être, aucun humain n’est supérieur à un autre ; aucun. Nous sommes tous fondamentalement égaux nous venons tous de la même matière – si je puis dire ainsi – et la notion même de supériorité ne peut pas exister dans l’être. C’est donc bien l’égo qui est caché derrière cette pensée, pas forcément consciente, de supériorité.

Donc ici, l’aspect qui me dérangeait dans l’être dans la personne c’était l’égoïsme. En fait ça vient faire miroir chez moi tout simplement parce que moi aussi je suis égoïste mais que je me le refuse, que je n’accepte pas cette partie de moi.

Evidemment la première réaction chez l’être humain (qui vient de son égo), c’est de ne pas être d’accord avec ça ; parce que moi qui suis en train de dire à mon égo « coucou, en fait on est égoïste !», mon égo, lui, il va me répondre « non non, MOI je ne suis pas égoïste, ne t’inquiètes pas on n’est pas égoïste du tout, on est mieux que la personne qui vient de passer devant tout le monde à la boulangerie, point ».

Ça ne plait pas à l’égo d’entendre qu’il a des choses à pointer, et c’est normal, ça nous met des sacrées œillères sur la tête ; donc si on n’est pas d’accord avec l’aspect que l’autre nous renvoie – en l’occurrence ici l’égoïsme – c’et exactement là où l’égo prend les commandes et où il nous manipule et qui nous empêche de voir là où il doit absolument aller voir, là où il doit absolument aller bosser parce que c’est lui qui va devoir bosser, c’est l’égo ! pour laisser un peu de place à l’être.

C’est un exercice à pratiquer, encore et encore, et il est fastidieux, je vous l’accorde, parfois on peut avoir l’impression de faire preuve de bonne volonté mais qu’il y a toujours des endroits où ça bloque et où l’on juge l’autre sans comprendre et voir que ça vient exactement toucher cette chose-là chez nous ! Surtout, ne culpabilisez pas, ça ne sert à rien. On s’observe avec bienveillance, sans se juger nous-mêmes, on ne veut pas juger l’autre mais on ne veut pas se juger soi-même non-plus, ça n’apporte franchement rien. On va préférer regarder les choses avec distance, se regarder faire nous-même, se regarder réagir et en rire, sourire, puis aller creuser un peu à l’endroit précis où ça nous touche à l’intérieur de nous (égoïsme, irrespect, jalousie etc).

Donc, l’effet miroir c’est vraiment un levier très puissant pour améliorer nos relations humaines mais aussi et surtout pour améliorer notre relation à nous-même. Le but c’est de retirer les œillères et pour voir ce qu’il se passe en vous. Et être égoïste, c’est ok, reconnaitre qu’on a notre part d’égoïsme c’est ok et c’est tout à fait normal de faire preuve d’égoïsme à certains moments, je vous le dis souvent ; l’égo est au service de notre survie, et il est moteur en nous, il est utile, nécessaire ! Faire comme s’il n’existait pas c’est se mentir à soi-même et par conséquent c’est se conformer à réagir avec excès et sans conscience face à un comportement ou à des personnes que l’on jugera être égoïstes.

L’effet miroir c’est vraiment l’aspect que l’autre nous reflète de nous-mêmes ; et ça on peut le retrouver dans des multitudes de contextes, de relations, d’interactions sociales.

Après l’épopée de la boulangerie, en rentrant chez moi, je me suis amusée à prendre une feuille, un stylo, et à noter toutes les situations plus ou moins lointaines, durant lesquelles j’ai pu faire preuve d’égoïsme, avec le plus d’honnêteté possible envers moi-même, je le faisais pour moi, personne n’allait lire cette liste, je pouvais la brûler ensuite si j’avais envie… et bien je peux vous dire, que la liste n’était pas si petite que je le pensais ! et ça m’a fait sourire, c’est-à-dire que le but derrière, ce n’est pas de se flageller en se disant qu’on est un terrible être humain et qu’on est égoïste au possible ; le but c’est de prendre conscience de qui l’on est, et d’accepter nos parts d’ombres pour pouvoir ensuite, en conscience, y mettre de la lumière.

Donc, la prochaine fois que quelqu’un me passera devant dans une file, j’ai hâte de voir ce que cela va faire réagir en moi et tant que cela fera réagir de la colère, ou de l’énervement, c’est que mon rapport à mon propre égoïsme ne sera pas entièrement compris et accepté. Le jour où je souris intérieurement et où je remercie la dame de m’avoir coupé la file avec honnêteté et sans réaction émotionnelle à l’intérieur, je saurais que j’ai fait un pas en avant dans la connaissance et l’acceptation de moi-même ; et elle sera là, ma plus belle victoire personnelle ! La victoire elle ne sera plus dans le fait de me taire, de ne pas réagir et me mordre les doigts pour ensuite bougonner une fois rentrée à la maison. Bougonner parce que je serais en colère d’un tel comportement, sans comprendre et réaliser qu’en fait cela vient toucher quelque chose que je me cache à moi-même.

Ce travail intérieur c’est une véritable ouverture d’esprit et une ouverture à soi-même.

N’oublions pas que ce que l’on voit de l’autre n’est jamais réellement l’autre dans ce qu’il est, mais c’est ce nous-même projetons. On est les rois pour se faire des films.

Gandhi nous disait ; « Sois le changement que tu veux voir dans le monde ». C’est exactement ça dont il est question ici ; tout part de notre intériorité à nous. Si je veux changer le monde, ce sera ma perception du monde que je vais devoir changer, et ce sera donc ce qu’il se passe en moi qui va devoir changer, il va falloir que je commence par changer mes représentations, mon interprétation du monde, mes projections personnellesqui sont nourries par ce qu’il y a l’intérieur de moi. Voila, ça c’est une notion très importante que je tenais à vous partager.

Vous l’aurez compris ; on dira plus facilement qu’on est humble, sincère, honnête et bienveillant plutôt qu’égoïste, pessimiste, lâche, manipulateur… Ces facette-là qui sont en nous, ces parts d’ombres, on ne veut pas les assumer, parce que c’est notre égo qui prend les commandes et que c’est une partie de nous que l’on ne veut pas voir, que l’on n’affectionne pas particulièrement, que l’on n’aime pas ; c’est exactement où il n’y a pas d’amour et donc où l’on ne s’accepte pas. Alors, vous allez me dire ; « Euh, oui mais Margaux, je n’ai pas envie de mettre de l’amour dans mon égoïsme ! », et pourtant, toute part d’ombre a besoin de lumière.

Mais du coup, toutes ces choses-là que l’on n’aime pas en nous et surtout que l’on n’accepte pas, c’est-à-dire que l’on terre, que l’on enterre, et bien toutes ces choses-là on les projette sur les autres et ensuite on leur reproche. Et quand on reproche à l’autre, en fait on parle avant tout de soi. Ces parts d’ombres qui manquent de lumière, si on ne les connait pas, si on ne les accepte pas, on va les planquer les enfouir bien au fond, profondément en nous, dans une vieille cave humide et sombre, dans l’inconscient et quand on va les voir chez l’autre on ne va pas les supporter ; et c’est logique ! C’est quelque chose que l’on peine à cacher toute sa vie à l’intérieur de nous donc si on nous les fout sous le nez a un moment donné, on ne va pas supporter ça… (rires) Et donc on va reprocher à l’autre d’être un manipulateur, un menteur, un égoïste, un je ne sais quoi, mais en réalité ; nous ne pouvons pas voir en l’autre ce qui n’existe pas en nous. On ne voit en l’autre que ce qui est déjà présent en nous.

Alors, si une personne est apaisée avec toutes les facettes d’elle-même, toutes ses parts d’ombres, elle ne pourra plus être gênée par l’autre et ça, ça renvoie à une notion de liberté fondamentale qui fait du bien au cœur.

Donc c’est intéressant de se pencher là-dessus ; si vous êtes quelqu’un que beaucoup de comportements dérangent voire insupportent, c’est surement que vous avez vous aussi des parts d’ombre à aller découvrir, à aller rencontrer et vous savez quoi ? Allez-y les rencontrer ! Tranquillement, sans jugement, allez boire le thé avec ces parts d’ombres, allez papoter, allez apprendre à les connaitre puis les accepter et les laisser tranquillement vivre en vous, les autoriser à être là, tout simplement. Ouvrez la porte de cette cave miteuse et laissez-les sortir ; laissez-les prendre place dans votre salon, dans votre foyer, et donc, dans votre cœur. Car, là, à cet instant-là, ces parts d’ombre elles seront à la lumière et le cœur va déposer de la lumière sur ses parts d’ombres ; elles ne vont pas disparaitre, elles vont s’apaiser car elles seront prises en compte, acceptées, en conscience ; elles vont arrêter de tambouriner à la porte de votre cave intérieure.

Il est également urgent d’intégrer le fait que nous sommes des êtres contradictoires et c’est ok ; je peux tout à fait avoir besoin par exemple d’être au service de l’autre, d’être dans la bienveillance pour moi-même, un besoin fondamental, un besoin humaniste, mais à côté de ça je peux aussi avoir un besoin fondamental d’être égoïste dans mes choix, dans ma solitude par exemple, dans plusieurs aspects du quotidien, et c’est ok. Parce que j’ai aussi besoin d’être égoïste parfois et si je refoule cette partie de moi, si je n’accepte pas le fait que parfois j’ai besoin d’être égoïste, je serai constamment désabusée, agacée et énervée face aux personnes qui adoptent ces comportements-là, qui sont égoïstes, qui font preuve d’égoïsme et que je jugerai égoïstes, face à ces personnes-là qui elles, auront laissé cette part d’ombre exister en elles et qui viendront exactement toucher cette partie de là en moi. Elles vont venir gratter à la porte de ma cave, et je n’ai pas envie que des gens viennent dans ma cave, cela générera de la colère en moi. Ce que l’on ne supporte pas chez l’autre, dans son être, c’est ce qui est refoulé chez nous, ce qui est planqué, et relégué à la cave.

Du coup ; si on part de ce principe-là, toutes les relations humaines, amicales, professionnelles et particulièrement les relations amoureuses sont les moyens les plus efficaces pour apprendre à se connaitre soi-même, c’est même un des buts fondamentaux des relations humaines. C’est génial ! Il faut s’en servir ; intégrer le fait que l’on ne rencontre jamais des personnes par hasard et que toutes les personnes que l’on rencontre sont sur notre chemin pour une excellente raison, pour refléter ce qui en nous manque d’amour, ce qui en nous, n’est pas encore mis à la lumière, ce que l’on a à reconnaitre et à accepter à l’intérieur de nous.

Je termine avec une citation qui me parle beaucoup et que je trouve très appropriée pour cet article : « Quand je montre quelqu’un du doigt, il y a un doigt qui est pointé vers lui, mais trois doigts qui sont pointés vers moi. ».

Voilà, alors aujourd’hui je vous propose un petit exercice qui est simple et qui peut être très amusant : je vous invite à regarder dans votre entourage, à regarder ceux qui vous agacent, ceux qui carrément vous énervent ou vous insupportent, puis regardez ce que vous leur reprochez fondamentalement. Intéressez vous ensuite à quoi ça fait écho en vous, dans votre propre existence, dans votre histoire, dans votre être profond. Je vous invite à le faire avec distance, avec bienveillance, avec gentillesse envers vous-même. Vous pouvez faire un système de liste, mettre ça part écrit pour vous permettre d’en prendre pleinement conscience et d’utiliser cet outil au service de votre connaissance de vous-même. Selon ce qui ressort (égoïsme, jalousie, irrespect, égocentrisme etc…), vous pouvez lister les moments où vous-même vous avez fait preuve de ces états d’êtres qui vous dérangent chez les autres, afin de vous en rendre compte, de leur donner une place, en vous, de les accepter, d’en prendre conscience.

En fait, le but c’est quoi ? C’est tout simplement de se regarder, à l’intérieur, et d’accepter d’y voir ce que l’on y voit (les traits que l’on cache sont généralement communs entre les êtres, c’est normal, ce que vous refoulez en vous est refoulé par nombre de vos voisins), puis une fois regardé et accepté ce qu’il y a à l’intérieur, essayez de trouver de la beauté dans ce que vous voyez là, dans ce que vous êtes ; et ainsi, découvrir et voir de la beauté dans ce qui est autour de vous, dans le monde et dans tout ce qui est extérieur à vous. C’est ça, toute la magie de l’effet miroir. Parce que si demain vous voyez de la beauté en vous, vous pourrez être surs que vous verrez de la beauté partout autour de vous.

J’espère que cet article vous aura plu et qu’il vous servira dans vos relations aux autres, et avec vous-mêmes. S’il vous parle et si vous souhaitez le partager à vos proches, je ne peux que vous y encourager et vous en remercier.

Je vous remercie pour votre soutien, vos retours et vos partages. N’oubliez pas que mes articles sont également disponibles en version Podcast ; pour vous accompagner sur votre trajet matinal ou pendant le grand ménage du dimanche matin ! => ICI

Je vous remercie encore une fois de la confiance que vous m’accordez et de la bienveillance dont vous faites preuve vis-à-vis de mes articles et de moi-même. J’espère que cet outil fabuleux qu’est l’effet miroir vous offrira des possibilités infinies afin de mieux vous connaitre, de vous accepter dans votre entièreté et surtout de vous aimer pour la personne merveilleuse que vous êtes.

Je vous embrasse virtuellement et vous souhaite une très belle journée ; rendez-vous samedi prochain, pour un nouvel article 🙂

Margaux

Réponses

  1. Avatar de Alain Orsot

    « Quand je montre quelqu’un du doigt, il y a un doigt qui est pointé vers lui, mais trois doigts qui sont pointés vers moi » : très très belle citation tellement pertinente et qui résume tout … 😉
    Merci pour cet article très précieux.

    Aimé par 1 personne

    1. Avatar de Margaux Bussière

      Merci Alain pour votre retour, cette citation en effet a un écho très puissant je trouve ! 🙂

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  2. Avatar de redrosesandlili

    Très bel article plein de sens et de conscience je ne verrai plus les choses de la même manière, merci !

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    1. Avatar de Margaux Bussière

      Merci à vous pour ce retour !

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